Il y a un débat récent (en cette mi-avril) au sein du gouvernement belge pour "inscrire" d'une certaine façon les "fœtus morts-nés" ou selon un autre vocabulaire les "enfants nés sans vie". S'il y a une demande des parents.
Des communes ont déjà pris des décisions dans ce sens mais certains partis souhaitent une loi "fédérale".
Il me semble qu'il y a déjà une pratique nationale en France à ce sujet.
Dans les amis de croire quelqu'un connait-il des expériences heureuses ou malheureuses sur ces pratiques?
Permettre de donner un prénom? Inscription dans un registre d'hôpital, un registre communal ?
Inhumation, incinération séparée (je souhaite qu'ils soient traités séparément des membres ou appendices enlevés)? Espace réservé dans le cimetière. Inscription du prénom et de la date sur une pierre?
A partir de combien de semaines depuis les dernières règles (depuis la fécondation plus 2 semaines)?
Quelle pratique d'Eglise ? Je ne suis pas très chaud pour des messes collectives pour les individus humains avortés ou victimes de fausse couche. Cela tourne toujours à la militance anti-avortement. On peut en tous cas évoquer parfois liturgiquement les familles à l'espoir déçu.
A ma connaissance, et j'avais bien étudié la question il y a une quarantaine d'années l'Eglise n'a jamais célébré de messe pour un enfant mort-né. Pas systématiquement en tout cas.
Ce mot "fausse-couche" est vraiment déplaisant. Y a-t-il un synonyme ?
Des amis avaient envoyé un dessin par internet pour dire que la vie de l'enfant qu'ils espéraient s'était interrompue. Connaissez-vous des cas semblables ?
22 April 2010
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